Snek
Bio
Passionné depuis toujours par le dessin et tout ce qui touche de près ou de loin à la culture hip-hop, Snek s’est rapidement tourné vers le graffiti, discipline qui lui a permis d’acquérir au cours des années différents styles et techniques de réalisation. Son expérience professionnelle principalement tournée vers l’artisanat, dont le travail du bois, lui a permis de développer de nombreuses compétences utiles à son art, lui permettant une approche des différentes matières, ainsi que le sens du détail et de la précision.
Fort de sa curiosité et de son envie d’évolution, il s’épanouit aujourd’hui dans un style qui lui est propre, mêlant figures réalistes et calligraphies. Ces dernières, réalisées au trait biseauté la plupart du temps argenté et doré, s’entremêlent au sujet principal afin d’illuminer ses compositions, dynamiser l’ensemble et donner à ses œuvres un caractère prestigieux et un style reconnaissable dans le monde du graff. Prenant vie principalement sur fond noir, ses sujets relatent différents messages au gré de ses humeurs et envies.
Autant à l’aise sur toile que sur mur au format XXL, Snek offre au public toute la puissance de ses assemblages graphiques où son geste calligraphique vient mettre en valeur une figure centrale hyperréaliste. L’une de ses œuvres majeures, « Larme de paix » visible à Grenoble rue Doudart de Lagrée a été effectuée lors du Street Art festival 2016 de Grenoble. »
En 2016, Snek avait déjà participé au Projet Vénus et réalisé l’œuvre Souffle d’espoir, en 2017 l’oeuvre La Danseuse. Cette année, pour sa deuxième contribution, il signe l’œuvre L’insaisissable, d’après une photographie de Magali prise par Thibault Lefébure.
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